
Charlotte :-Nous sommes tous un peu idiot quand nous aimons.
Mr Darcy :-C'est pour vous et uniquement pour vous que je l'ai fait. Vous êtes trop généreuse pour vous jouer de mes sentiments. L'entretien que vous avez eu avec ma tante m'a donné des raisons d'espérer que j'osais à peine entrevoir. Si vous avez gardéles mêmes sentiments qu'auparavant dites-le moi. Mon affection et mon désir sont intacts. Mais un seul mot de vous saura me réduire au silence. Si vos sentiments envers moi ont changé, je dois vous dire que vous avez pris possession de tout mon être et je vous aime. Et que je ne veux plus être séparé de vous.
Elisabeth :-Je lui aurais volontiers passé son orgueil s'il n'avait tant blessé le mien.
Charlotte :-Cet homme est Mr Darcy.
Elisabeth :-Il a l'air malheureux le pauvre!
Charlotte :-Malheureux peut-être, mais pauvre certainement pas.10 000 livres de rentes et il possède la moitié du Derbyshire.
Elisabeth :-La plus sinistre il faut croire !
Elisabeth :-Est-ce que vous dansez Mr Darcy ?
Mr Darcy :-Pas si je peux y échapper.
Mr Bingley :-Miss Elizabeth est une jeune femme fort agréable.
Mr Darcy :-Tout à fait acceptable,je dirais, mais pas assez jolie pour me charmer.
Elisabeth :-Je me demande qui le premier a que la poésie pouvait guérir de l'amour?
Mr Darcy :-Je pensais que la poésie nourrissait l'amour.
Elisabeth :-Un amour fort et sincère peut-être, mais s'il ne s'agit que d'une vague inclination, je pense qu'un simple petit sonnet peut en avoir raison.
Mr Darcy :-Et que préconisez-vous qui encourage l'affection?
Elisabeth :-La danse. Même si votre paartenaire vous paraît tout juste acceptable.

Mrs Bennet :-Elle devra y passer la nuit, comme je l'avais présagé.
Mr Bennet :-Grand Dieu ma bonne amie, votre don à jouer les entremetteuses relève assurement de l'occulte !
Un valet :-Une Mme Bennet,une miss Bennet,une miss Bennet et....une miss Bennet, Monsieur.
Caroline Bingley :-Allons-nous recevoir tous les Bennet de ce pays?
Mr Darcy :-Est-ce une règle chez vous de parler en dansant?
Elisabeth :-Non, non je préfère me montrer peu sociable et taciturne. Il est bien connu que c'est beaucoup plus agréable.
Elisabeth :-Si Jane meurt, vous vous consolerez en vous disant que c'était en pourchassant Mr Bingley.
Mrs Bingley :-Personne n'est jamais mort d'un simple rhume.
Elisabeth :-Non mais elle pourrait mourir de honte d'avoir une mère telle que vous.
Mr Bennet :-Quel bonheur pour vous Mr Collins de posséder le talent de flatter avec tant de délicatesse.
Elisabeth :-Ces charmantes attentions vous viennent-elles sous l'impulsion du moment ou faut-il que vous les prépariez à l'avance ?
Mr Collins :-En général elles me viennent spontanément, et bien que je m'amuse parfois à préparer d'avance certains des ces jolis compliments, je m'éforce de leur donner une consonnance aussi naturelle que possible.
Mr Collins :-En général elles me viennent spontanément, et bien que je m'amuse parfois à préparer d'avance certains des ces jolis compliments, je m'éforce de leur donner une consonnance aussi naturelle que possible.
Elisabeth :-Oh, Monsieur, personne ne soupçonnerait que vos manières étaient parfaitement étudiées !
Elisabeth :-Seul un amour profond pourra me convaincre de me marier c'est pourquoi je finirai vieille fille.
Mr Darcy :-Je vous aime d'un amour ardent, voudriez vous me faire l'honneur d'accepter ma main?
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